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Complètement à l'est.

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7 mars 2010

To je konec.

J'ai laissé cet endroit à l'abandon ces derniers mois, mais il serait dommage de finir l'histoire sans y mettre un épilogue.

Je suis rentrée il y a un mois ou presque. Et je suis incapable d'écrire cette note finale.


That's it. I don't want to write it down. END. That's not fair.

Ca a toujours été mon problème, ça, de toute manière, finir ce que j'ai commencé.


I want to write now both in english and french.

Cause this post is maybe more for the ones I left there, than the ones I found again here.

How to draw a conclusion to this story? Short, simple, clever, and without pathetic lyrism and emphasis?

Je pourrais résumer les dernières semaines. Expliquer le silence.


I could say I'm better now.

I'm better now.

Much better.

Je pourrais expliquer, pourquoi, comment.

Mais après tout, Mirva le fait très bien ici.

I feel exactly the same.

Donc, je dirais juste.

Que c'était exceptionnel.

Simple comme bonjour.

Ou comme cette rose que j'ai reçu à notre dernière.

Nous n'étions pas capable de nous dire adieu.


See you!

As if we were supposed to meet in a few days...

Let's just say:

It's a neverending story.

 

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9 février 2010

Zima

29 novembre 2009

Moulding and Sculpting












15 novembre 2009

Tongues

Apprendre une langue, ce n'est pas seulement apprendre une langue.

C'est aussi une confrontation avec soi-même, une prise de recul, et un certain retour à l'enfance.

On réapprend à parler, à élaborer une pensée, à lire, tout en faisant appel à des référents et une mémoire que l'on n'avait pas la première fois.

Aussi, depuis que je connais l'écriture et la prononciation tchèque, tous ces č, ď, ě,  ň,  ř, ů, ť, ž, je ne peux m'empêcher de lire la moindre enseigne, le moindre panneau publicitaire, la moindre petite once d'écriture. Je prononce à voix basse tout ce que je vois... Exactement comme quand j'étais petite et que je venais d'apprendre à lire. Je lisais tout ce que je pouvais, même les étiquettes de shampooing. Même quand ça n'avait pas vraiment de sens. Juste pour le plaisir du déchiffrage.

L'anglais... C'est déjà autre chose. Mais quand j'étais chez les Grand-Brittons, je me suis fait une réflexion à peu près similaire. L'impression d'être une enfant de nouveau. Une enfant prise au milieu d'une conversation d'adultes, dont elle comprend les mots, ou plutôt les sons, mais pas vraiment le sens. Une enfant qui s'ennuie, parce que la pensée n'est tout simplement pas assez rapide pour à la fois déchiffrer et comprendre ce qui se dit.

D'une manière générale, le temps de réflexion est ralenti. Il s'adapte au temps de parole. La pensée se simplifie, s'élabore en fonction du vocabulaire et de la grammaire que l'on a à portée de main. Si bien que parfois, lorsque je reviens au français, je garde ce rythme plus lent, et ce vocabulaire qui va à l'essentiel.

Ce qui est particulier ici, c'est que beaucoup de langues sont mélangées. On ne parle pas seulement anglais, ou seulement tchèque... Mais anglais, tchèque, slovaque, polonais, finnois, français... L'anglais étant la seule langue comprise par tout le monde; et aussi la seule qui ne soit la langue maternelle d'aucun d'entre nous.
Au final, nous ne nous améliorons pas beaucoup; quand on cherche un mot qu'on ne connaît pas, on explique ce que c'est, mais nous ne connaissons pas le mot pour autant, puisque qu'on se comprend avec simplement "the thing which does that". Parfois, il m'arrive même de connaître le nom en tchèque, sans le connaître en anglais, tout simplement parce que je le vois écris tous les jours...

Je comprends aussi le polonais, de temps à autre, par le biais du tchèque que je ne comprends pas toujours... mais je reste incapable de formuler la moindre phrase. Est-ce ce que l'on ressent, juste avant de commencer à parler pour la première fois? On comprend le sens général de ce qui se dit autour de nous, mais pas encore assez la structure pour être capable de construire soi-même ses propres phrases?

Et il reste le finnois, dont je ne capte rien d'autre que les sons, la musique. Et notre grand jeu, avec Tanja qui ne connaît pas un mot de français, est d'imiter la musique de nos langues respectives...

Rester quelques temps dans notre groupe d'étudiants Erasmus peut parfois être très perturbant. Parfois (souvent) on se plante: je me mets à parler en français à Johana la polonaise, et Mirva s'adresse à moi en finnois. Zoë et Zoé parlent parfois en anglais entre elles car c'est moins "fatigant" pour le cerveau de rester dans la même langue, même si ce n'est pas celle dans laquelle on est le plus à l'aise, que de passer d'une langue à l'autre...

À d'autres moments je lis du français en croyant que c'est de l'anglais, et je comprends le tchèque sans réaliser que c'en est... Words are not important anymore, only meaning remains.


[Et lors de l'écriture de cet article, j'ai eu so many envies de mettre des mots en anglais en plein milieu d'une phrase en français...]

[Prochaine fois: petit billet sur l'accent français ou pas.]

11 novembre 2009

We were just talkin' about it. (Last part)

First part

Second part


Neděle - Sunday - Dimanche

Le crazy week-end touche à sa fin.

Deuxième réveil difficile.
Pour tout le monde.
VRAIMENT tout le monde.

Lorsque nous arrivons dans la salle à manger, pas de table, pas de petit-déjeuner gargantuesque qui nous attend avec impatience... Juste la mère de Dana errant dans la cuisine tel le zombie en se plaignant de maux de têtes.

Mais dix minutes plus tard, et avec l'aide de tout le monde, la table devient aussi accueillante que la veille, si ce n'est plus.

On part aux alentours de 13 heures, direction Prague! On a dans les poches les gaufrettes slovaques dont Dana ne cesse de nous vanter les mérites (car elles sont bien sûr bien meilleures que les tchèques).

Et Marta, la poupée maléfique qui s'est échappée du placard de marionnettes de l'école, nous accompagne tout le long du trajet... ou pas?

Who knows...







- Oh look! This is snow!

- Hmm there are hills as well...

- Actually it's a little like in Scotland.

- Is it a forest on the hill?

- Yes, it is! We could pick up mushrooms...

- ... in the forest.

- Is there any mushrooms in the forest?

- We were just talkin' about it.

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10 novembre 2009

We were just talkin' about it. (Second part)

(First part)


Sobota - Saturday - Samedi


Le réveil est dur... très dur.

Mais la maman de Dana nous a préparé un petit-déjeuner du tonnerre.
Une table de neuf personnes remplies de victuailles.

Des housky, du pain, de la charcuterie, du beurre, du miel, du fromage, du thé, des yahourts...
Ya pas, les Slovaques, ils savent recevoir.

Et on en a bien besoin, car on part rejoindre Julia (une autre étudiante du groupe) à Bratislava.

Dana, Zoë et Mirva restent sur place... et nous prenons le train, cette fois.


Bratislava's trip is completely crazy.

(Like the whole week-end, actually.)

Bratislava, c'est Prague en miniature. Un petit centre touristique. Un pont Charles de 300 mètres avec un marché d'artistes dessus. Un petit château sur une petite colline.

Julia s'empare d'une feuille de marronnier, la brandit tel que le font les guides praguois pour ne pas perdre leurs groupes, et s'arrête devant chaque point "intéressant".
Nous marchons en ligne derrière elle, et crions "whaaaaaaah" la tête en arrière à chaque arrêt.
Elle nous montre un bâtiment; une porte; des gens en train de discuter...

Je pense qu'on pourrait facilement en faire du théâtre de rue. 

La soirée continue dans la givrée attitude... Gosha a une amie à Bratislava, et nous propose de lui rendre visite dans sa résidence étudiante.

Pour infiltrer le bâtiment, on entame un trafic de cartes étudiantes (les visiteurs sont censés payer après une certaine heure). On entre par petits groupes, et une fois dans la chambre, on jette les deux cartes par la fenêtre pour les suivants... tout un programme.

Mais on finit par arriver, et on improvise un petit apéro dans la chambre étudiante pour trois personnes...


Vers 23h00, on retourne à Trnava. Encore une fois, les trains sont fréquents, et à toute heure par ici...

La maison de Dana est vide; les parents font la fête chez les voisins.

On sort les instruments à nouveau, on chante, on joue...


Puis le père arrive pour nous dire qu'il a entendu la musique et qu'il veut qu'on vienne jouer pour l'anniversaire de son voisin...

Nous voilà embarqués dans une fête slovaque de quadragénaires; tout le monde est fini à l'alcool (les films de Kusturica et les pièces de Tchékov sont loin d'être un mythe à présent: l'âme slave apprécie l'ivresse), et on nous demande de chanter des chansons paillardes de nos pays respectifs... Zoë et moi essayons de nous souvenir de La Lirette sans succès, et les Finnois ne semblent même pas connaître le concept de chanson paillarde...
Tout le monde a les yeux rivés sur nous, on nous parle en plein de langages différents, des fois dans un anglais qui fait peur... On nous apporte à boire, à manger, et à boire, et à manger... Entre deux tranches de salami on nous demande d'aller danser sur de la pop slovaque... Julia (la polonaise amatrice de danses traditionnelles françaises) et moi réussissons même à danser une scottish sur du rock.

... jusqu'à ce que l'on parvienne à s'éclipser discrètement de cette fête un peu folle.

[Bientôt la suite et la fin]

 

9 novembre 2009

We were just talkin' about it. (First part)

Pátek - Friday - Vendredi


12h30 -  Rendez-vous devant le parking d'Otava, devant les résidences étudiantes, dans la presque banlieue praguoise.
Les Erasmus partent en Slovaquie. Deux voitures, une boîte de cookies, huit apprentis théâtreux des quatre coins d'Europe.

13h00 - Les derniers retardataires arrivent, c'est parti!!!

13h02 - ... ou presque, Zoë doit remettre de l'huile dans le moteur...

13h05 - Le bidon d'huile est quasi vide, il faut en racheter.

14h00 - Na schledanou Praha!

14h10 - Gosha qui, en bonne polonaise, a déjà ouvert une première bière, réclame une pause pipi. (Ndlr, "pipi" est un mot international, sauf en anglais, on dit "wee wee"... ou alors "pee" tout seul. Font jamais rien comme les autres ceux-là).

14h20 - On double l'autre voiture et on fait des grimaces.

14h25 - L'autre voiture nous double et nous fait des grimaces.

14h30 - On communique avec les autres pour convenir d'une pause pipi together, parce que Gosha n'en peut vraiment plus.

15h47 - On passe la frontière. Direction Trnava, chez les parents de Dana!

15h48 - Le GPS de Zoë ne trouve pas la Slovaquie. Il ne concerne que l'Europe. Et selon ses dires, la Slovaquie n'est pas en Europe.

15h49 - Nous n'avons pas de carte assez précise de la Slovaquie non plus.

15h51 - Dana (la seule qui connaît le chemin, ndlr) est dans l'autre voiture et nous envoie des indications stupides, du genre "suivez la neige".

16h05 - Pas de neige en vue.

16h10 - On s'arrête dans une forêt pour regarder tout ça au calme.

16h15 - On reprend la route, dans l'idée de demander à un autochtone.

16h25 - Pas d'autochtones en vue... mais une station service!

16h27 - Cette station service est complètement improbable. Quelque part dans le trou du cul du monde. On dirait Bagdad café en Slovaquie. Des ruines. Et un bâtiment qui ressemble à un camp de concentration. (On apprendra plus tard qu'il s'agit d'un centre hippique, actually.)

16h30 - L'autochtone de la station service nous aide à trouver la route. Heureusement que Gosha parle tchèque.

17h30 - On arrive enfin à Trnava!  L'autre voiture nous attend depuis plus d'une demie-heure devant un magasin d'accessoires érotiques...

17h50 - On peut enfin entrer dans la maison des parents de Dana, se déchausser à l'entrée comme l'exige la tradition tchèque (et slovaque donc).

18h15 - Les parents commencent déjà à nous servir du vin... Le père est plutôt mécontent d'apprendre que je ne bois pas, en tant que française et surtout bordelaise... (je suppose qu'il voulait m'entendre dire que son vin était excellent!)

18h30 - On goûte LE plat traditionnel slovaque: Halusky. C'est un mélange de pâtes de pomme de terre (un genre de gnocchi, en somme), de fromage de brebis, de petits lardons grillés, et de kéfir... ça ressemble un peu à des pâtes à la carbonara, quoi.

18h50 - Je découvre que les slovaques passent leur temps à se comparer aux tchèques... ainsi que le font déjà les tchèques. Le père veut absolument nous faire goûter les "Slovakia chips" qui sont bien sûr meilleures que les "Bohemian chips".

19h20 - Certains (humm Gosha essentiellement) réclament de la vodka. Les autres ne disent pas non.

19h50 - On fait tourner un petit piment rouge (chili) pour que chacun en teste un bout. Les moins prudents deviennent tout rouge et finissent leur tasse de kéfir en une seule lampée.

20h10 - Zoë improvise un cocktail avec le reste du piment et la vodka.

20h13 - Devant tant de bravoure, le père lui apporte son alcool de prune fait maison.

22h10 (ou deux bouteilles d'alcool de prune plus tard) - On commence à jouer de la clarinette, de la guitare, et à chanter.

23h05 - Dana nous propose de sortir dans Trnava.

23h30 - On est dehors sous la pluie, Dana est bourrée, et ça fait trois plombes qu'elle nous fait tourner en rond.

23h34 - On entre enfin dans un bar. Tout le monde est de plus en plus éméché. Je prend même du vin chaud.

00h12 - Gosha nous veut nous faire essayer une tradition polonaise, qui consiste à "sniffer" une poudre de tabac et de menthe. C'est pour soigner les rhumes et les maux de têtes. Je vous rassure, il ne s'agit pas de drogue, et c'est complètement légal... contrairement à ce qu'a cru la serveuse en voyant Tanja aspirer cette poudre noire par le nez.

1h10 - On se décide à quitter le bar... Certains veulent continuer la fête et aller en boîte (arf!), d'autres (dont moi) préfèrent rentrer à la maison. On se sépare donc en deux groupes, et on a pour mission d'ouvrir la porte aux autres quand ils nous appelleront.

1h11 - Problème: Dana est dans l'autre groupe, est on ne se rappelle plus où est sa maison.

1h14 - On décide de prendre un taxi.

1h20 - Deuxième problème, le taxi ne connaît visiblement pas notre rue.

1h22 - Et il n'a pas de GPS. (Peut-être qu'aucun GPS n'affiche la Slovaquie?).

1h24 - Il déroule une immense carte de la ville tout en conduisant.

1h37 - On passe par hasard devant la rue, on lui crie "c'est ici!"

1h40 - On a mis une demie-heure pour arriver là, alors qu'on était à un quart-d'heure à pied.

2h00 - On dort déjà tous.

4h00 - Le téléphone nous réveille. Michaïl part ouvrir aux fêtards.

4h55 - Zoë et Mirva, qui, complètement saoules, n'arrêtent pas de pouffer et de parler depuis une heure, malgré nos remontrances, se décident enfin à dormir. Mais Mirva ronfle comme un camionneur.

[La suite au prochain numéro...]

 

3 novembre 2009

De l'Europe Centrale




Ah ben zut moi qui croyais être en Europe de l'Est, je me suis encore plantée sur toute la ligne.

La frontière entre l'Orientale et l'Occidentale partie ne se trouve point dans les gravats du mur de Berlin, ainsi que tout un chacun (ou presque) le pense.

D'après les tchèques, ce serait plutôt du côté de la Moravie que ça se jouerait. Une province montagneuse longeant la frontière slovaque.

Obviously
, c'est là-bas que ça se passe.

Ils se considèrent comme half-german. (Et il est important de préciser que dans la langue tchèque, "allemand" se traduit par "němec", à savoir "celui qui ne parle pas", ou plus exactement "celui qui ne parle pas tchèque")
Mais une fois que t'as franchi la région morave... tu découvres "l'âme slave" dans le coeur des gens. La musique change. Prend une dimension plus intense.

L'âme slave quoi.

J'voulais vivre en "Europe de l'Est" pour un petit bout de temps, ben j'ai raté mon coup.


(Mais celà dit, ptet qu'ils disent juste ça parce qu'encore une fois, ils rêvent de l'Occident...)

28 octobre 2009

Brèves de République Tchèque.

Dimanche, marché de Kolbenova. Bazar, vide-grenier, brocante. On y trouve de tout. Instruments de musique, jouets de Kinder surprise, pommes de terre, animaux empaillés, machines à laver, grillades non-stop, chaussettes.
D'après mon coloc', il reste unique en son genre. Ici, le vide-grenier n'est guère à la mode. Et l'entrée dans le marché de Kolbenova est payante. [La fascination du capitalisme guette toujours...)

Lundi, première petite présentation Erasmus, à la suite de notre stage de deux semaines avec notre professeur japonais. L'occasion d'être un véritable groupe d'européens.
Pour ma part, première composition à la clarinette (à partir d'improvisations...). Kré kré fière d'abord. Facile d'être la meilleure musicienne du groupe... quand on est la seule à jouer d'un instrument. Mais quand même, je n'ai pas vraiment assuré, pour cause d'asthme commençant (entre autres).
Ca n'a pas empêché ma coloc' de m'offrir une fleur, en guise de clin d'oeil au protocole théâtral tchèque, qui maintient certaines traditions, telles que bien s'habiller pour aller au théâtre ou offrir des bouquets aux artistes à la fin d'un spectacle.




Mardi, l'asthme empire, je vais donc voir un médecin. Mon coloc' tchèque m'accompagne dans une polyclinique, sans rdv. En guise d'ascenseur, un "Paternoster", assemblage de cabines à mouvement continu, assez lent, qu'il faut prendre en marche. ça me rappelle mes cauchemars habituels, lorsque les escalators et les ascenseurs se retournent contre moi, et deviennent impossibles à atteindre. J'essaie également d'imaginer comment une personne âgée, très malade ou en fauteuil roulant peut emprunter ce Paternoster, qui reste l'unique accès aux étages supérieurs...
Je me retrouve devant un pneumologue, qui, avant même de me poser la moindre question sur la raison de ma visite, me fait souffler dans plusieurs machines différentes qui semblent toutes dater des années 70... Après ça, plus d'asthme, mais le pouls à cent pulsations par minutes, le corps qui tremble, comme si j'avais avalé 10 litres d'espresso italien en un quart de seconde.
Le soir, nous accueillons notre première couchsurfeuse. Une américaine du Kentucky. Et la semaine prochaine, nous aurons des bulgares, des irakiens, et autres... Bref, beaucoup de gens. De rencontres. 


Mercredi (aujourd'hui donc), une surprise dans ma boîte aux lettres. Une lettre au sirop d'érable, écrite sur une écorce de bouleau. C'est bien le genre de mes deux amies Cumulus exilées au Canada... Seulement voilà, je n'ai qu'une partie de la lettre... Où sont donc les deux autres parties??? Telle est la question...
Et un casting. Pour une comédie musicale. J'ai chanté singing in the rain et ai renversé une table. Hum. C'était plutôt drôle comme expérience.(J'espère juste qu'on ne va pas me rappeler, parce que je n'aime vraiment pas ça, jouer devant une caméra, actually).

25 octobre 2009

Automne II











D'autres images ===>


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